Les manifestants accusaient le président de brider (freiner, supprimer) les libertés et de confisquer le pouvoir. Le 5 mars, le gouvernement de Daniel Ortega et l’opposition nicaraguayenne ont annoncé qu’ils allaient discuter pour arriver à un accord le 28 mars. Des «garants internationaux» seront désignés pour veiller à l’application de ce qui sera décidé. Depuis le 18 avril, la crise a fait plus de 325 morts.