Les Diables rouges se sont envolés le 13 juin pour la Russie pour participer au Mondial. Ils se sont entraînés pour la première fois sur le sol russe le lendemain. Le 18 juin, ce sera le grand jour: ils joueront leur premier match du Mondial contre le Panama (Amérique centrale) à Sotchi. Ils affronteront ensuite la Tunisie (Afrique du nord) à Moscou le 23 juin et l’Angleterre à Kaliningrad le 28 juin.

Deux jours avant leur départ pour la Russie, les Diables rouges ont disputé leur troisième et dernier match de préparation contre le Costa Rica (Amérique centrale) à Bruxelles, au stade roi Baudouin. L’équipe belge a brillamment battu le Costa Rica, 4 buts à 1.

En Russie, les Diables rouges sont encadrés par un staff (une équipe) composé de 39 personnes. Parmi elles, on trouve bien sûr le sélectionneur (l’entraîneur) Roberto Martinez et ses deux assistants, ainsi qu’un préparateur physique, deux médecins, des kinésithérapeutes, un nutritionniste (spécialiste de l’alimentation), des cuisiniers, des responsables du matériel…

Allez les Diables

C’est la 13e fois que la Belgique participe à une phase finale de coupe du monde. Lors du dernier Mondial au Brésil (Amérique du Sud) en 2014, notre pays a été éliminé en quart de finale.

Jusqu’à présent, le Mondial le plus réussi pour les Belges est celui de 1986 organisé au Mexique (Amérique du Nord). Les Diables rouges étaient allés jusqu’en demi-finale. Pour le Mondial 2018, les supporters belges espèrent que l’équipe fera mieux ou au moins aussi bien que celle de 1986.

Dans une interview à un journal espagnol, la star de l’équipe d’Argentine (Amérique du sud), Lionel Messi (qui joue au FC Barcelone, un club espagnol), a cité la Belgique parmi ses cinq favoris à la victoire finale. Alors, qui sait si les Diables rouges n’imiteront pas l’Allemagne qui a décroché le titre mondial en 2014 au Brésil? On peut rêver, non?