Le 18 mars, premier jour du «chacun chez soi», Henri PFR a lancé un appel à ses fans. Il leur a proposé d‘enregistrer des sons, de se filmer et de lui envoyer les vidéos. Il en a reçu des centaines d’ici et du bout du monde.

Avec son pote R.O., Henri a écouté, trié, gardé, travaillé, mixé ces sons… Ils ont ajouté des touches de musique et la voix de la chanteuse britannique Raphaella, qui a déjà travaillé avec Henri sur Until the end et Loving myself.

Le clip vient de sortir. On découvre un morceau punchy, joyeux, avec des sons de toutes natures. Des gens claquent de doigts, font du bruit avec un jouet, font miauler leur chat, allument un briquet, jouent avec des couvercles de casseroles, claquent la porte d’un congélateur, jouent d’un instrument, ouvrent une cannette, secouent une tirelire, font rebondir une balle… Le clip donne envie de danser mais aussi de tendre l’oreille pour reconnaître le son!

Ensemble et solidaires

Henri PFR a ainsi réuni virtuellement environ 120 personnes pour ce morceau. En plus d’avoir créé cette œuvre collective, il a décidé d’en offrir les droits d’auteur. Quand quelqu’un crée une œuvre, il reçoit un peu d’argent chaque fois que son œuvre est vendue ou diffusée publiquement à la radio, à la TV, sur les plateformes de streaming… C’est ce qu’on appelle les droits d’auteur.

Henri PFR s’engage à verser les droits d’auteur de ce morceau au consortium 12-12, un groupement de sept grandes organisations internationales qui viennent en aide aux populations les plus fragiles dans le monde: Oxfam Solidarité, Caritas International, la Croix-Rouge de Belgique, Médecins du Monde, Plan International Belgique, Handicap International Belgique et, enfin, Unicef Belgique, dont Henri est un ambassadeur (représentant).

Pour Henri, ce morceau est une trace positive de ce confinement, et une preuve que la musique n’a pas de frontières.