Nous pouvons tous faire quelque chose pour lutter contre la pollution atmosphérique.

La circulation routière et le transport sont deux des principales sources de pollution de l’air.

On peut donc être plus conscients et choisir, quand c’est possible, un mode de transport moins polluant.

En cas d’épisode de pollution aux particules fines en Belgique, signalé par CELINE, on doit respecter une vitesse maximale de 90km/h sur autoroute. Cela diminue les émissions nocives des véhicules motorisés.

Penser à économiser la planète

Depuis 2018, il faut respecter la zone de basse émission (LEZ) à Bruxelles. Cette mesure interdit à certains véhicules (les plus polluants) de circuler sur tout le territoire de la Région de Bruxelles-Capitale.

Lorsque l’on fait des achats, acheter des fruits et légumes de saison locaux évite le transport de ces produits sur des milliers de kilomètres. Le chauffage est aussi une importante source de pollution atmosphérique. Les énergies fossiles (pétrole, gaz) polluent davantage que les énergies renouvelables (vent, soleil…). On peut veiller à ne pas laisser inutilement les lampes et les appareils électriques allumés, opter pour des lampes économiques et des appareils qui consomment peu. On peut aussi bien isoler les bâtiments.

L’air sortant des cheminées d’usine peut être rendu plus propre grâce à des filtres à manches. Ces filtres sont principalement utilisés pour éliminer les particules fines et les métaux lourds de l’air.

La pollution aussi à l’école

Comme vous le verrez en dernière page, la pollution de l’air doit aussi être combattue près des écoles . En 2017, Greenpeace (une association de défense de la nature) a mesuré la qualité de l’air dans 222 écoles du pays. Les conclusions sont que, dans trop d’écoles, la qualité de l’air est préoccupante, voire carrément mauvaise. Un des constats est qu’il faut réduire la quantité de gaz d’échappement à proximité de celles-ci. Dans votre école, a-t-on fait quelque chose à ce sujet?