La maison sans sommeil raconte l’histoire de Paul, un jeune garçon de 11 ans, et de
ses parents. Ils déménagent en Normandie (région au nord de la France) dans une vieille maison. Paul fait des crises régulières de somnambulisme (voir encadré plus bas) pendant lesquelles il fait des cauchemars horribles.
Avec Thibald et Annaë, les amis qu’il se fait dans sa nouvelle école, ils vont tenter de découvrir la raison de ces mauvais rêves.
La collection Hanté, de l’éditeur (celui qui produit et vend des livres) Casterman, est une collection de livres d’histoires d’horreur uniquement.
Il faut donc s’attendre à des histoires qui font peur et celle-ci fait vraiment peur, peut-être même un peu trop pour des enfants de 10 ans. En effet, l’éditeur a annoncé que cette histoire convient à des enfants de 10 ans. Selon le JDE, c’est peut-être un peu jeune pour lire des histoires de ce genre, sauf si, vous dormez trop.
Dans l’ensemble, le livre est bien écrit mais par moments, l’écrivain utilise un langage qui se veut jeune (comme les jeunes parlent) mais qui est un peu bancal (incorrect, pas réaliste).
Le somnambulisme qu’est-ce que c’est?
Le mot somnambule est la composition de deux mots qui viennent du latin (la langue parlée à l’époque romaine): somnus et ambulare.
Somnus signifie sommeil et ambulare signifie marcher.
Être somnambule signifie donc marcher en dormant.
Il y a de nombreuses légendes (des histoires qui ne sont pas vraies) sur le somnambulisme. Par exemple, certaines personnes pensent que ça porte malheur de réveiller quelqu’un qui est somnambule ou que cette personne pourrait carrément mourir si on la réveille. Toutes ces histoires sont fausses. Le seul risque si on réveille un somnambule est qu’il se réveille.
Les scientifiques ont remarqué que, lors d’une crise, un somnambule ressent moins la douleur et peut donc plus facilement se blesser. Les personnes régulièrement somnambules sont plus sensibles aux maux de tête pendant leur vie.
