Dans l’attente de son procès, l’homme était assigné à résidence (obligé de rester à son domicile au Japon) avec la possibilité de voyager librement à l’intérieur du pays. Mais il est parvenu à échapper à la justice japonaise et a fui au Liban (pays d’Asie, au bord de la Méditerranée). Le problème, c’est qu’il n’y a pas d’accord d’extradition (livrer un criminel à un autre pays) entre le Liban et le Japon et que Carlos Ghosn risque bien d’échapper à son jugement…