Dans l’attente de son procès, l’homme était assigné à résidence (obligé de rester à son domicile au Japon) avec la possibilité de voyager librement à l’intérieur du pays. Mais il est parvenu à échapper à la justice japonaise et a fui au Liban (pays d’Asie, au bord de la Méditerranée). Le problème, c’est qu’il n’y a pas d’accord d’extradition (livrer un criminel à un autre pays) entre le Liban et le Japon et que Carlos Ghosn risque bien d’échapper à son jugement…
VITE DIT
En fuite
L’ex-patron du groupe automobile Renault-Nissan, Carlos Ghosn, avait été arrêté en novembre 2018 et devait normalement être jugé au Japon en 2020 pour malversations financières (il a caché une partie de l’argent qu’il gagnait).

AFP