Le 17 octobre, c’est la journée mondiale du refus de la misère (pauvreté). La pauvreté touche plus de 385 millions d’enfants à travers le monde. En Belgique, aussi, il y a des enfants qui vivent dans le besoin. C’est le cas pour 1 enfant wallon sur 4 ou pour 4 enfants bruxellois sur 10. Vivre sous le seuil de pauvreté (le niveau de vie à partir duquel une personne est considérée comme pauvre) peut avoir des conséquences sur la qualité de vie d’une personne ainsi que sur sa vie sociale (sa relation avec les autres). Des associations (groupes de personnes) se battent quotidiennement pour lutter contre la misère dans le monde. Que peut-on faire à notre niveau? Certains distribuent des collations, d’autres donnent des vêtements qu’ils n’utilisent plus, par exemple. On lie souvent la pauvreté au manque de biens (avoir peu d’objets). Est-ce que la pauvreté ou la richesse d’une personne ne se mesure qu’aux choses qu’elle possède? Peut-on être riche d’une autre façon? Certains disent que les actions et le comportement d’un homme l’enrichissent (font devenir plus riche) également. Ce n’est pas rare de voir quelqu’un qui ne possède pas grand-chose être le premier à aider les autres. Qu’en pensez-vous? Quel regard devons-nous porter sur la pauvreté? Comment peut-on faire bouger les choses?