En 2018, déjà, une sécheresse avait fait des dégâts, notamment dans les parcs nationaux, des vastes territoires où la nature est protégée. Officiellement, 63 700 animaux sauvages étaient morts faute de (par manque de) nourriture et d’eau.

Cette année, la Namibie prend le taureau par les cornes (s’en occupe activement). Elle a décidé de vendre un millier d’animaux sauvages pour 1,1 million de dollars (près d’un million d’euros). Elle espère à la fois sauver ces animaux et recevoir assez d’argent pour nourrir et sauver les autres. Elle vend donc 60 girafes, 35 élans, 28 éléphants, 600 buffles, 65 oryx (sorte de bovidé qui ressemble à une gazelle), 150 springboks, 20 impalas et 16 koudous (trois espèces d’antilopes, la photo montre un springbok)…

Cette décision interpelle. La comprenez-vous? Trouvez-vous qu’elle est adaptée? L’approuvez-vous? Qu’auriez-vous décidé? Quelles autres options (solutions) se présentaient?