Les 17, 18, 20 et 21 juin, plus de 50 000 jeunes passeront les épreuves du CEB (Certificat d’études de base). Ce sont essentiellement des élèves qui clôturent leur parcours primaire et qui, avec ces examens communs à tous les élèves francophones du pays, vérifient qu’ils ont acquis les connaissances de base pour entamer des études secondaires. Pour obtenir son CEB, il faut avoir plus de 50% dans les trois matières (français, mathématiques et éveil).

Le CEB occupe les esprits des enseignants, des parents et des élèves pendant des mois. Le stress est intense chez certains… Pourtant, en 2018, 90,63% des élèves inscrits ont eu leur CEB. Si on a réussi régulièrement jusque-là, il y a peu de risque d’échouer à cette épreuve finale… Alors, comment expliquer cette tension? Êtes-vous angoissé? Comment gérez-vous cela? Pourquoi ce stress? Avez-vous peur d’un échec? De décevoir quelqu’un? De ne pas être le meilleur? Est-ce important pour vous d’avoir de «beaux points»? Trouvez-vous que cette tension autour du CEB est positive, car elle vous stimule et vous pousse à réviser tous les savoirs et les compétences acquises, et mieux les maîtriser?