Cette semaine, le président américain Donald Trump a retrouvé son «ami» Kim Jong Un, le président de la Corée du Nord (Asie).

Le mot «ami» fait sourire quand on se souvient qu’il y a un an encore, les injures fusaient entre les deux présidents: «petit gros», «gâteux mentalement dérangé», «fripouille, gangster», «fou», «rocketman» (homme-fusée, en référence aux essais de tirs de fusées nucléaires du Nord-Coréen)…

À l’époque, ces injures ne faisaient rire personne, car elle s’accompagnaient de menaces d’attaques terribles, peut-être même avec l’arme nucléaire, une arme qui fait d’énormes dégâts pour des centaines d’années! On craignait une terrible guerre mondiale…

Un deuxième sommet

Trump et Kim Jong Un ont finalement calmé le jeu, l’an dernier, et se sont rencontrés une première fois en juin 2018. Un deuxième sommet (rencontre officielle importante) entre les deux ennemis d’hier était organisée ces 27 et 28 février à Hanoï (Vietnam, Asie).

Au moment d’écrire cet article, le sommet commençait. Les deux leaders (chefs) allaient-ils prendre des décisions qui pourraient amener une paix durable entre Américains et Nord-Coréens? La Corée du Nord va-t-elle sortir de son isolement par rapport à tous les pays du monde? La paix sera-t-elle enfin bientôt signée entre la Corée du Nord et son voisin du Sud, ennemi juré depuis plus de 70 ans et grand allié des États-Unis? Le monde observe la situation avec grand intérêt…