196 pays y sont représentés, parmi lesquels la Belgique. Notre Premier ministre, Charles Michel, ne pouvant pas s’y rendre, c’est la ministre fédérale de l’Énergie qui s’y est rendue à sa place. L’objectif de la COP 24? Trouver des solutions concrètes pour lutter contre le réchauffement climatique, comme convenu dans l’Accord de Paris, conclu en 2015. Cet accord réclame des pays qu’ils réduisent fortement leurs émissions de gaz à effet de serre (GES, les gaz responsables du réchauffement). Il demande en plus qu’ils décident de la façon dont ils vont aider les pays les plus pauvres à agir contre le réchauffement climatique. La Belgique, par exemple, doit réduire ses émissions de GES de 55% d’ici 2030. Pourtant, cette même semaine, elle a refusé de voter deux directives (lois) concernant l’énergie lors du conseil des ministres européens. La ministre de l’Énergie a expliqué cette décision. Le gouvernement fédéral n’est pas le seul décideur dans le domaine de l’énergie, les régions aussi ont leur mot à dire et elles n’ont pas voulu voter ces lois.