Ils sont situés dans la poitrine et sont protégés par les 12 paires de côtes (des os) qui forment la cage thoracique (le thorax, le torse).

Les poumons sont parcourus par de nombreux tuyaux (les bronches, les bronchioles) qui véhiculent l’air. Ils comprennent aussi des millions de minuscules sacs, les alvéoles pulmonaires. Si l’on pouvait mettre à plat les unes contre les autres les 600 millions d’alvéoles que comptent nos deux poumons, elles couvriraient une surface équivalente (égale) à un terrain de tennis.

C’est dans les alvéoles pulmonaires que l’oxygène présent dans l’air inspiré passe dans le sang et que le sang se débarrasse des déchets comme le gaz carbonique.

Quand on expire, l’air n’est pas entièrement évacué (sorti) des poumons. Ils gardent toujours une certaine quantité d’air pour les empêcher de se dégonfler.

Le cerveau contrôle le rythme de la respiration. Il analyse les messages en provenance des muscles et la teneur (la quantité) en gaz carbonique du sang. S’il y en a trop dans le sang (par exemple quand on court), la respiration s’accélère pour l’éliminer et mieux oxygéner le corps. La respiration est plus rapide aussi en altitude (en montagne), où l’air est plus pauvre en oxygène.