Après cela, la Belgique a créé des «maisons de retour». Des familles avec enfants mineurs (de moins de 18 ans) y sont détenues mais avec des possibilités de sorties (pour aller à l’école, faire des courses, consulter un avocat, se rendre chez le médecin, etc.). Un adulte de la famille doit toutefois toujours être présent dans l’habitation, afin d’éviter les disparitions. Selon Theo Francken, le secrétaire d’État à l’Asile et à la Migration, pour certaines familles, ça ne marche pas. Selon lui, il faut un enfermement strict.