Ouverte deux jours par semaine, l’épicerie fonctionne grâce aux bénévoles qui travaillent au sein du petit commerce solidaire: des travailleurs handicapés de l’association Souffle Un Peu. Et grâce aux nombreux invendus qu’ils vont chercher dans les supermarchés.

Retrouvez l’article complet dans le JDE de ce vendredi 7 septembre.